Autour du polar
The Mobsters
Le gang des Mobsters a fait main basse sur le trésor des musiques des films noirs et des grandes séries policières.
Peaufinant leur plan dans le plus grand secret, ils ont dévalisé les thèmes inoubliables de Nino Rota (Le parrain) ou Lalo Schiffrin (Mission : impossible, Mannix) mais aussi Bernard Herrmann (les films d'Hichkock, de Scorsese) ou Miles Davis (Ascenseur pour l'échafaud).
Entre l'ambiance sombre et romantique des films de Bogart et une énergie explosive digne de Scarface, le spectacle des Mobsters recèle de pépites inattendues, quand le rockabilly côtoie les balades jazz et le funk psychédélique.
Le résultat est... explosif ! Déjà, sur scène, costumes plus décor, cela pose l'ambiance – ils font très prohibition. Ensuite, le travail d'adaptation, excellent : le générique de Mannix est un grand classique, mais leur réinterprétation est franchement superbe. Ajoutez à ceci que Marc se lance dans le chant sur "Godfather", thème inoubliable du parrain et vous obtenez un concert d'une heure qui vous laisse pantois d'admiration...
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